« J’élève ce corps en ruine, j’élève cette performance majestueuse et renversante, aux organismes internationaux qui défendent la dignité humaine, la vie, l’amour, la liberté, le droit à l’existence, les droits des villes et de leurs peuples, ainsi qu’à l’UNESCO et à la Cour Internationale de Justice de La Haye, en tant que document qui denonce le « crime de guerre » et les violations systématiques des droits des Libanais, de destruction sociale, d’oppression et de génocide collectif envers Beyrouth et ses habitants. L’excellente chorégraphie et mise en scène d’Ali Chahrour et de toute son équipe, notamment Roger et Hanane, m’a fait sentir que Beyrouth sur, ou hors scène, ne peut pas mourir - ne mourra pas. Je m’incline respectueusement devant cette œuvre. »
Akl Al-Awit
Journal Al-Nahar